Waris DIRIE

WARIS DIRIE est née en 1965 dans une famille de nomades de la région de GALLACAIO dans le désert somalien près de la frontière éthiopienne.

A l’âge de 5 ans , elle subit l’excision. Elle échappe à l’age de 13 ans à un mariage forcé avec un homme plus âgé que son propre père et après une fuite et une cavale risquée et difficile, elle arrive à Londres où elle travaille d’abord comme femme de ménage, puis chez McDonalds.

Elle déménage ensuite à New York où elle devient l’une des plus grandes top model. C’est la première top model africaine à gagner un contrat exclusif avec Revlon Cosmétiques et elle fait la couverture des plus grands magazines.

Elle joue le rôle de la «James Bond Girl» aux côtés de Timothy Dalton dans le James Bond «Tuer n’est pas jouer»

La BBC réalise un documentaire intitulé «Une nomade à New York» sur la vie de Waris Dirie pour la série «Le jour qui a changé ma vie».

Fleurs du désert, 4e de couverture.

Issue d’une famille de nomades somaliens, Waris connaît une enfance rude mais heureuse car elle est entourée des siens. Mais quand son père décide de la marier à l’âge de 13 ans, Waris prend la fuite. Traversant le désert au péril de sa vie, elle atteint la ville de Mogadiscio et retrouve sa grand-mère. Cette dernière lui fait quitter le pays en lui trouvant un poste de « bonne à tout faire » à l’ambassade de Somalie à Londres. Waris y travaille pendant 6 ans telle une esclave, totalement recluse et coupée du monde extérieur.
Quand la guerre civile éclate en Somalie, l’ambassade ferme. Waris se retrouve livrée à elle-même dans les rues de Londres, ne sachant pas un mot d’anglais. C’est alors qu’elle rencontre Marilyn avec qui elle se lie d’amitié. Cette jeune femme, délurée et originale, l’héberge et l’aide à trouver un emploi.
Travaillant dans un fast food, Waris est remarquée par un célèbre photographe de mode. Grâce à lui, elle rejoint une agence de mannequins. Malgré de nombreuses péripéties, elle devient rapidement l’un des plus grands top model international et une ambassadrice a l’ONU…

Elle a parlé de son combat et de son ressenti lors de son excision notamment dans marie- claire un site internet où lui a été accordé une interview :

http://www.marieclaire.fr/,waris-dirie-excision,20213,45113.asp

J’ai subi cette merde et je la combattrai toute ma vie. Waris Dirie – Interview du 10 mars 2010

Interview L’invité 10 mars 2010

Moifaka, Gitroïna et Alima

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  1. Jade Lepori dit :

    Bonjour je suis étudiante en journalisme et je m’intéresse à votre blog et à vos revendications. Auriez-vous un contact pour que l’on puisse discuter?

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